La soirée était très animée ce jour de juillet, le bar était occupé par quatre hommes seuls, deux blacks, et deux white qui conversaient ensemble sans tenir compte de la présence d’un couple qui bavardait sagement sur un canapé, plusieurs hommes et une femme étaient descendus à la cave une heure auparavant.
Il était 11 h 30 lorsqu’un nouveau couple arriva, l’homme la soixantaine, grand, mince et élégant, il portait une veste de tweed, sa femme, grande elle aussi portait une longue robe décolletée vert sombre avec une large ceinture de cuir. Ils laissèrent leur vestiaire et s’installèrent sur un canapé légèrement en retrait, deux coupes de Champagne leur furent apportées. Quelques hommes les observaient avec plus ou moins de discrétion. Hélène était une femme très gaie et à l’aise dans un tel Club, elle était encore très belle pour son âge, environ cinquante-cinq ans, des yeux clairs, un nez long et fin, une large bouche éclairée de belles dents blanches très brillantes. Jean, lui, semblait très discret.
A minuit quinze, une jeune femme fit une entrée remarquée, d’une part parce qu’elle était magnifique et jeune, vêtue d’un corsage jaune paille et d’une jupe blanche assez courte, d’autre part, et surtout pour cela, elle était seule. Quelques hommes se firent des remarques qui dénotaient leur contentement. Eve s’installa au bar, elle choisit de prendre un Gin. Une panique à peine voilée s’empara des hommes présents, il fallait être le premier à l’aborder sans paraître trop pressé. Ousmane, un jeune et grand Sénégalais fut le premier à engager la parole à Eve, il avait beaucoup de charme et un large sourire, la conversation démarra.
Sur le canapé Jean s’approcha d’Hélène, ouvrit le haut de sa robe laissant apparaitre le profil d’une petite poitrine très alléchante. Personne ne remarqua dans la pénombre, mais Jean posa un collier de cuir autour du cou de sa femme et posa aussitôt après un bandeau sur ses yeux, elle était parfaitement consentante. Ils se levèrent et Jean la guida vers la piste de danse, plusieurs yeux les scrutaient. Ils dansaient maintenant, la tenue d’Hélène était une véritable invitation, manifestement un grand moment allait commencer pour elle. Des hommes s’étaient levés et se tenaient près de la piste de danse. Jean éloigna sensiblement sa femme de lui, simple manière de la faire admirer de l’assistance. L’ambiance de la salle était électrique, quelque chose allait se passer.
Ousmane était maintenant le seul prétendant d’Eve, le bar avait été déserté. Leurs conversations étaient devenues complices, ils souriaient tous les deux et Ousmane chuchotait à l’oreille de sa belle, ils en étaient aux confidences.
Jean embrassait Hélène, ils s’échangeaient des longs baisers sensuels, tout près de leurs spectateurs. Hélène sans le savoir les frôlait.
Jean s’écarta alors d’Hélène, il lui caressait alors le visage, puis présenta son pouce sur ses lèvres, docile, elle ouvrit sa bouche, quelle beauté désirable avec son collier, les hommes autour d’elle n’en pouvaient plus d’impatience. Elle baissa la tête, elle était au centre d’un cercle d’hommes. L’un d’eux découvrit ses épaules, Hélène frissonnât, Jean s’approchât pour imposer à sa femme complice de se mettre à genoux. Elle était maintenant au centre de la piste de danse, au centre d’un groupe de six hommes dont quatre blacks qui ne se maitrisaient quasiment plus.
L’un d’eux, Alex, lui fit face, posât sa main sur sa tête et l’approchât de lui, Hélène, manifestement n’attendait que cela, elle risquait de ne pas être déçue de la suite. Elle porta ses mains à la braguette qui lui faisait face, l’ouvrit, défit sa ceinture et fit apparaitre un énorme sexe black, déjà bien tendu et luisant. Elle le caressa comme pour faire durer l’intrigue, puis porta ses lèvres à ce gigantesque gland qui disparut lentement dans sa bouche gourmande. Alex fermait les yeux de plaisir, ses bourses étaient sorties de son pantalon, elles étaient bien tendues. Une nuée de mains fouillèrent Hélène qui exhibait maintenant sa petite poitrine qui frissonnait. Trois nouveaux sexes se présentaient, ses mains étaient à la recherche du plaisir, du vice, elle suçait avec délice ce membre noir qu’elle ne pouvait que très partiellement déguster. Jean s’était mis en retrait et prenait plaisir au spectacle de sa jouisseuse de femme. Il s’approchât et lui dit : « Tu aimes çà ? », Hélène recula sa tête pour se dégager, Jean insista : « Je t’ai posé une question », elle chuchota : « oui j’aime ça » « Pourquoi tu aimes ça ? ». Hélène répondit : « Parce que je suis une salope », son excitation était à son comble.
Eve et Ousmane les ignoraient totalement, ils avaient d’autres perspectives.
Hélène suçait maintenant un autre homme, Patrick, puis Souleymane, puis Ousseynou, Malick et Daniel. Elle revint sur le sexe d’Alex, essaya de l’engloutir le plus possible, à peine plus que le gland. Alex s’inclina pour saisir Hélène par l’épaule et la redresser. Maintenant il caressait sa chatte quasi épilée, elle soupirait rapidement, son plaisir était à la fois physique et mental, elle renversait sa tête en arrière alors qu’un groupe de mains la saisissait de toutes parts, elle s’abandonnait dans la luxure. Alex la saisit de manière assez ferme pour la diriger vers une alcôve où il l’allongea. Il léchait sa conquête avec un plaisir immense, il préparait ses deux orifices. Autour du lit cinq autres sexes qu’elle ne pouvait voir se dressaient en attendant leur probable moment d’entrer en action. Des mains la fouillaient de toutes parts, ses seins étaient malaxés avec une envie presque bestiale. Hélène miaulait, haletait, suppliait presque qu’on la prenne. Elle ne voyait rien, mais cela ne pouvait qu’augmenter son plaisir mental, son excitation bestiale.
Alex se releva, se protégea et fit disparaitre en grande partie son sexe dans la chatte trempée et expérimentée d’Hélène, elle renversa sa tête, elle était maintenant possédée par un mâle inconnu qui accélérait progressivement son va et vient. Ses mouvements devenaient plus amples, forts et rythmés, elle semblait souffrir et jouir de ce male en sueur. Il se retira, présenta son sexe à l’entrée de son anus, il le glissa légèrement puis Hélène émit un cri lorsque celui-ci la pénétra, elle devenait folle, un véritable viol, d’elle-même, de sa plus secrète intimité, et devant un public qui ne manifestait que de l’impatience. Daniel présenta son sexe devant sa bouche, elle le saisit immédiatement pendant qu’elle était secouée par son éphémère amant. Elle gémissait sans aucune retenue.
Jacques passa pour vérifier que tous ses clients se tenaient bien sans excès de zèle, il introduisit l’un de ses amis qui venait d’arriver, Etienne, Sénégalais comme lui. La soirée prenait une tournure encore plus folle, Jean ne manquait rien de la scène, effectivement sa femme était une véritable salope, lui n’était que son initiateur à ces orgies qui lui procuraient sans doute autant de plaisir.
Alex était maintenant en sueur, Hélène, elle, semblait épuisée par cette souffrance de plaisir, il commençait à respirer très fort, son plaisir montait, il donna un coup sec et émit un son rauque qui fit miauler Hélène. Quelques instants après son plaisir il embrassa les seins d’Hélène et se retira. Ousseynou allait sans attendre le remplacer, Hélène avait repris ses fellations avec un plaisir qui était partagé par les généreux sexes qui se présentaient avec insistance. Ousseynou présenta son sexe brillant et tendu, il le glissa progressivement dans l’intimité d’Hélène qui s’offrait, il entama sa besogne qui accéléra progressivement pour devenir presque violente, Hélène criait, elle se faisait chevaucher, elle adorait. Jean, s’approcha et retira le bandeau de sa belle qui ne pouvait plus rien ignorer du spectacle qu’elle offrait, elle regarda les têtes qui étaient penchées sur elle, elle choisit un nouveau sexe bien tendu pour reprendre sa luxure.
Pendant ce temps au bar la situation avait évoluée et Jacques avait aidé Eve et Ousmane à se rapprocher, Eve avait posé la main sur la cuisse de son nouveau compagnon qui semblait très en forme à voir la bosse qui avait gonflé son entrejambes, la situation ne pouvait plus durer. Eve était une véritable provocatrice. Il avança sa tête et lui proposa un baiser, qu’elle ne refusa pas. Leurs langues s’entremêlaient tandis que la main remonta sur la bosse. Il n’en pouvait plus. Il se mit debout et déboutonna son pantalon devant le bar. Eve devait, elle aussi, être impatiente car elle se courba et caressa le membre qui se dressa. Elle ne pouvait en rester là car le désir était partagé. Elle s’accroupit et présenta sa bouche, sa langue parcourait la longueur de ce membre avide de plus. Elle caressait ses bourses, Jacques ne manquait rien de ce magnifique spectacle Black and White, il tamisa un peu plus la lumière diffuse du bar. La chaleur était intenable.
Un rugissement parvint de l’alcôve, Ousseynou venait de jouir intensément, suivi d’Hélène qui participa au plaisir.
Patrick avait pris position pour pénétrer Hélène, Etienne, Souleymane, Malick et Daniel ne perdaient rien du spectacle et du plaisir que leur offrait tour à tour la bouche généreuse d’Hélène. Etienne avait un sexe particulièrement long et imposant. Patrick était trop excité pour tenir longtemps, il émit un sursaut, et laissa son plaisir l’envahir. Daniel émit aussitôt un râle de jouissance, un jet de sperme traversa le corps d’Hélène, son visage, ses seins son ventre étaient luisant de semence, puis celle d’Etienne et de Souleymane aspergèrent Hélène qui avait été honorée de ses amants un peu particuliers. Il faisait très chaud ce soir-là !
Des cris de bonheur montaient du sous-sol, le plaisir qu’Eve avait donné lui était rendu au centuple.