J’aime parfois passer à l’Odysée le vendredi ou le samedi soir, c’est une bonne manière pour moi de débuter mon week-end.
Ce soir-là de début septembre, il faisait beau et je décidais de passer dès le début de la soirée.
Je rentrais donc et trouvais l’ambiance assez calme, je pris un verre de whisky et restais assis un bon moment devant le bar.
Il était 23 heures quand je commençais à désespérer, les clients étaient majoritairement des clients habitués, ils dansaient ensemble, bavardaient, de mon côté je ne percevais pas l’ambiance des soirs de nouvelles aventures.
Je décidais donc de faire un dernier tour à l’arrière salle avant de partir. Une chambre était fermée, un couple devait sans doute s’ébattre en solitaire. Plus loin le jacuzzi était occupé par deux hommes qui bavardaient devant un film très indécent.
Plus tard en revenant au bar, je remarquais un couple qui venait d’arriver, ils étaient assis sur des cubes dans le coin VIP. Elle, assez grande brune aux cheveux bouclés, était assise très droite, les jambes serrées, une jupe beige lui couvrait la moitié des cuisses, un corsage blanc enveloppait une poitrine moyenne. Lui, le teint hispanique semblait assez grand. Ils bavardaient calmement, ils ne semblaient pas être un véritable couple, mais plutôt des amis de longue date. Je décidais de m’installer en face d’eux, elle ne prêta pas attention à ma venue, son homme eut un regard rapide en ma direction. Leurs conversations s’arrêtaient parfois puis reprenaient. Parfois ils s’échangeaient un rapide baiser, puis reprenaient leurs bavardages. J’observais ses cuisses alors qu’elle croisa ses jambes, désormais elles étaient à peine plus visibles. Leur comportement me paraissait étrange car ils ne pouvaient pas ignorer qu’ils étaient dans un club libertin alors qu’ils ne montraient aucune curiosité pour les clients qui passaient et dansaient près d’eux. Quant à moi, elle n’avait pas eu un seul regard, je commençais à désespérer.
L’homme se leva pour passer au bar et commander deux nouvelles boissons, elle attendait avec le regard dans le vague, ses jambes croisées étaient bien sagement serrées.
Leurs verres étaient à moitié vides lorsqu’elle décroisa les jambes avec une lenteur appliquée, je regardais alors dans la pénombre de sa jupe et ne pu rien apercevoir qu’une mystérieuse ombre. Néanmoins, le geste lent avait été très excitant pour moi, l’homme m’adressa un regard pour vérifier que je n’étais pas indifférent à ce qui était pour moi un signal. Leurs lentes conversations reprirent. Par moments les genoux de la belle dame s’écartaient légèrement, je ne pouvais savoir si ces gestes infimes étaient volontaires. Quelques instants plus tard l’homme embrassa plus longuement sa compagne, leur baiser était plus langoureux et les genoux s’entrouvrirent alors plus franchement, mais toujours pas assez pour observer le trésor qui se cachait plus haut. L’homme caressa le visage angélique de sa compagne, il défit alors le bouton du haut de son chemisier. Sa tenue restait néanmoins très sage surtout compte tenu de l’heure !
Un moment interminable se passa avant qu’elle se recule à l’arrière de son coussin, elle se redressa et ouvrit alors très largement ses jambes. Surpris par ce geste inattendu je ne pouvais manquer de regarder son pubis nu et entièrement épilé, un petit saphir brillait sur son clitoris, quelle soudaine indécence. Son regard restait vague, elle continuait à m’ignorer. Après seulement quelques secondes elle reprit une position normale, jambes croisées. L’homme ne fit pas un seul geste, seulement un rapide regard en ma direction, il cherchait sans doute à maîtriser la situation en cas de débordement des observateurs, mais j’étais le seul spectateur de ce mouvement que je ne manquais pas d’apprécier. J’étais alors très excité et souhaitais avant tout rester le seul privilégié de ces scènes superbement érotiques.
Je pris alors une initiative et décidais de m’assoir plus près de ce sympathique couple qui ne pouvais pas ignorer ma présence à qui était sans doute destinée ces jeux. J’ouvris alors mon pantalon et décidais d’exhiber mon sexe qui bénéficiait d’une vigueur insatisfaite. Secrètement elle m’ignorait mais j’étais convaincu que ma présence la troublait. Ses genoux s’entrouvrirent à nouveau, mais à peine. Il me fallut patienter un trop long moment pour que le mouvement s’amplifie, je regardais ouvertement dans sa direction mais ne pouvais toujours pas revoir le trésor caché dans cette ombre vertueuse. Mon sexe était maintenant très dur et je le caressais lentement, cette situation devenait ingérable. Comme si elle répondait à ma démonstration, ses jambes s’écartaient progressivement pour notre jeu très secret. Je pouvais presque voir à nouveau son bijou que je désirais tant approcher.
De manière inattendue, l’homme se leva en premier, me regarda et me fit un clin d’œil et un geste de le suivre. Elle, entrainée par son compagnon, se leva en m’ignorant toujours, ils prirent la direction du couloir, ils entrèrent dans l’ancien sauna, salle désormais plongée dans le noir. J’entrais avec eux et fermais la porte. Une infime lueur me permettait de voir cette délicieuse femme assise, les jambes largement ouvertes, sa tête était renversée en arrière, elle s’offrait pour un instant que je devais saisir au mieux.
J’approchais ma tête de ce saphir, ce coin de paradis était maintenant disponible pour mon plaisir … et le sien. Je pris soin de m’approcher sans aucun contact, ma bouche était devant elle, je soufflais légèrement sur son sexe offert pour lui indiquer ma présence, je sentis une légère réaction de son bassin, une réaction d’un plaisir naissant. Je faisais des efforts pour que la progression soit aussi lente que toute cette attente qu’elle m’avait imposée. Ma langue effleura son clitoris, je commençais à la caresser, elle était inondée de désir, cela elle ne pouvait le cacher.
Mes caresses devenaient plus précises, elle s’avança pour mieux s’offrir, je reculais alors ma tête pour la remplacer par des caresses pénétrantes de mes doigts, je vis alors que son aman avait dégrafé son corsage, il caressait ses seins. La tête de la belle était renversée en arrière, elle savourait son plaisir les yeux sans doute fermés pour mieux se concentrer sur ce moment exquis. Son bassin basculait maintenant au rythme de mes caresses, je lui suggérais de s’avancer sur le bord de la banquette, elle accepta mon invitation, son sexe offert à ma langue qui savourait le plaisir offert à cette mystérieuse visiteuse de cet endroit indécent.
Ses mouvements étaient maintenant plus amples, elle refusait néanmoins de faire entendre son plaisir qui était évident. Je me redressais alors pour retirer mon pantalon et pouvoir me préparer à mieux honorer ma partenaire, mon sexe était dressé, impatient et curieux de cette rencontre.
Je rapprochais alors cette délicieuse coquine de l’extrême bord de la banquette, elle était totalement obéissante à mes demandes, je la pénétrais alors doucement et jusqu’au fond de son intimité, un souffle accompagna mon mouvement, mon va et vient était lent, mon plaisir extrême. Sa respiration devenait plus profonde, plus forte, mes mouvements s’accéléraient. Quel bonheur était entrain de récompenser ma lente séduction. Mes mouvements étaient désormais plus amples et forts, elle ne demandait que ça. Au bord du l’explosion du plaisir je me retirais pour revenir sucer cette délicieuse chatte. Je sentais le ventre de la belle qui participait pleinement au plaisir.
Je repris alors possession d’elle, mes mouvements devenaient bestiaux, elle savourait cette folle chevauchée, son aman était spectateur d’un plaisir volé mais néanmoins partagé avec délice. Le moment était venu, je me retirais avant d’exploser de plaisir, un jet de semence traversa son ventre offert, un fort geignement marqua le plaisir de ma maîtresse d’un moment.
Un instant plus tard elle prenait un dernier verre avec son compagnon, bavardant comme si la parenthèse de luxure n’avait jamais été réalité.
Michelle est secrétaire assistante dans un cabinet dentaire de Bordeaux, elle passe parfois des soirées de folies avec son ami de longue date, seulement lorsque la vie professionnelle de son mari l’oblige à s’absenter plusieurs jours. Mais lui restera dans l’ignorance de cette soirée.