Agnès donc est une ravissante femme de 40 ans, un petit bout de femme svelte à qui l’apprentissage et la pratique assidue de la danse classique à donner une démarche svelte, à la fois discrète et gracieuse.
Son couple est harmonieux, Ralf, est lui un homme élancé, encore beau gosse, deux grandes filles studieuses complètent le foyer. Oui, un foyer harmonieux et, pourrait-on dire trop rangé pour ne pas chercher à rompre cette forme de lassitude envahissante. Pourtant la vie intime de ce couple était presque parfaite, enfin presque car ces deux-là ne pouvaient pas se douter.
Le désir de l’un pour l’autre était constant et ils faisaient l’amour plus que beaucoup de couples vivant une vie sans problème, parfois ils conversaient de débordements, d’insolite pour attiser leur plaisir de l’un pour l’autre.
Ralf allait même de temps en temps sur internet pour effectuer des recherches de divertissements qui pourraient rompre le côté trop rangé de leur intimité, cela restait dans les conversations et le resta pendant de longs mois, de trop longs mois car cela ne suffisait plus.
Ils décidèrent de tenter une nouvelle expérience, aller passer un week-end loin de chez eux et de terminer la soirée dans un bar branché avec la réputation d’avoir une clientèle libertine. Leur choix fut porté sur la ville de Bordeaux qui présente un bon choix de clubs.
La réussite fut totale, rentrés dans leur chambre d’hôtel, ils firent l’amour avec une nouvelle fougue en imaginant d’être vus par des clients qu’ils avaient observés. Ils imaginèrent aussi qu’un couple les rejoindrait et s’allongerait près d’eux, nus.
Ces escapades de week-ends se renouvelèrent trois fois et ils engagèrent alors la conversation avec un jeune couple assis au bar, après quelques présentations ils s’installèrent à l’écart et se racontèrent leurs attentes avec beaucoup de complicité et de sincérité. Agnès tenta de faire évoluer la conversation sur le fait que le club dans lequel ils se trouvaient était très bien au niveau du cadre mais un peu trop guindé pour ne pas dire trop soft. Conseil leur fut alors donné de tenter l’expérience d’un un club sur Bordeaux qui est plus osé, avec plus de musique, de danse, une ambiance tropicale, très libertine ; il s’agissait effectivement de L’Odyssée. Ils furent prévenus, ils risquaient d’être surpris par des soirées de véritables débauches. Les conversations et la soirée se poursuivit mais Agnès avait bien mémorisé le nom du club qui risquait d’être la destination d’une prochaine virée.
En réalité Agnès était à l’initiative de ces nouvelles recherches qui avaient animées son imagination, elle en parlait avec sincérité à Ralf qui lui aussi partageait la démarche, voire même qui en attisait la recherche. Une ambiance Africaine, ils en avaient tant évoqué l’érotisme dans leurs rêves. La virilité des blacks, une nouvelle recherche inavouable mais bien tentante, là on sortait du style Bcbg, ce qu’ils souhaitaient réellement tous les deux.
La date fut très vite choisie, la réservation à l’hôtel le plus proche pour le samedi 14 mai.
L’attente fut interminable mais leurs occupations professionnelles ne permettaient pas d’avancer la date.
Le samedi soir arriva enfin et c’est Ralf qui sonnât à la porte de l’Odyssée, l’attente fut un peu longue, mais le son de la musique filtrait, ils étaient bien éveillés devant leur destin.
Une grande femme blonde leur ouvrit la porte et les accueillit, elle était quasiment nue sous une robe de voile transparent qui ne cachait rien. Une très belle créature. Jacques était derrière le bar, ils avaient connaissance de sa réputation et de son charisme par les stories du site et les avis qu’ils avaient consultés sur Internet. Jacques les accueillit donc en leur présentant le club dans ses grandes lignes.
L’ambiance était très détendue, des clients nombreux semblaient être des habitués, bon signe, mais néanmoins cela leur donnait l’impression d’être des étrangers, facteur supplémentaire de stimulation. Ils s’installèrent avec leurs coupes de Champagne dans le coin VIP qui était partiellement disponible. La musique était assez forte et entrainante. Agnès et Ralf échangèrent quelques mots, ils étaient prêts à tout et très motivés pour une expérience nouvelle, plus débridée.
Ils posèrent leurs coupes et entrèrent sur la piste de danse, il était déjà plus de minuit, et n’avaient pas vu le temps passer à observer ces couples qui conversaient entre eux, ces blacks seuls qui allaient et venaient. Jacques passa leur demander si tout allait bien, s’ils passaient une bonne soirée. La piste était vraiment animée, des femmes jeunes et moins jeunes dansaient, certaines dans des tenues sans équivoque, seins découverts, deux femmes se caressaient, l’ambiance guindée des précédents clubs ne leur manquait pas, bien au contraire.
A ce moment-là une page se tourna pour eux, subitement, rien n’allait être comme avant, définitivement. La soirée s’accéléra, ils entrèrent dans un nouveau monde sans se douter de son intensité.
Samba, un grand black Sénégalais dansait dans le chahut général. Il s’avançât vers Agnès et Ralf qui avaient rejoint leur place, il les avait longuement observés, il était persuadé d’avoir compris leurs attentes, un fin psychologue !
Il s’avança et demanda à Ralf « Vous permettez cette danse avec Madame ? », puis prit le bras d’Agnès avec détermination, lui imposa quasiment de danser avec lui, souriant, charmeur ; Ralf fut surpris, il sourit et observa sa chérie, elle était dans les bras d’un black, le rêve qu’ils n’imaginaient pas de réaliser il y a seulement un mois.
Samba se serra contre Agnès, dansa avec élégance, il lui chuchota à l’oreille, Ralf imaginait qu’il draguait sa femme, une idée qui lui plaisait, la découverte peut-être du plaisir candauliste, pourquoi pas ! Seulement il ne pouvait savoir la teneur de la conversation.
«Tu es ravissante, tu es une très belle femme et je trouve que tu pourrais être une bonne salope, est ce que tu sens que tu me fais bander, tu sens ma bite comme tu la fait lever, tu es une bonne aguicheuse »
Agnès resta muette, timide et sans défense.
« Tu as beaucoup de potentiel, tu pourrais être et devenir une bonne salope, mais il te faut un vrai mâle comme moi pour te prendre en main »
Il se serra plus contre elle.
« J’espère que tu n’as pas mis de petite culotte ? »
« Non, je sais, je l’ai retirée tout à l’heure »
Étrangement la situation lui plaisait, elle était subjuguée, en transe à vrai dire, sublime dans sa tenue serrante avec sa jupe courte noire et son chemisier blanc qui mettaient en avant son côté femme bien rangée.
Samba quant à lui, grâce à son expérience de dragueur savait qu’il venait de faire une prise exceptionnelle, et en plus une nana très belle, et de surcroit très BCBG, les meilleures, celles qui ont un très grand potentiel, et celle-là n’avait certainement pas d’expérience, le délice suprême, il bandait très fort et c’était justifié.
Samba passa sa main distraitement sous la jupe courte d’Agnès, effectivement elle était nue, une femme de bonne famille ! En réalité, elle était trempée de désirs, elle n’avait plus aucune maîtrise de son destin.
Les gestes déplacés de Samba n’étaient pas incongrus car l’ambiance montait dans le club, les distances n’existaient plus et toutes les tenues étaient maintenant possibles.
Ralf qui restait assis devant sa coupe de Champagne constatait avec plaisir qu’Agnès se faisait peloter les seins, cela provoqua une forte érection en lui.
Après ce premier contact Samba raccompagna sa cavalière à sa place, il regarda Ralf dans les yeux et lui adressa la parole pour un simple et franc « Merci ».
Agnès était presque déçue que ce moment de contact rapproché soit ainsi terminé, elle resta sur sa faim.
Elle commanda deux nouvelles coupes et confia à son mari la teneur de la conversation de son cavalier entreprenant, Ralf demanda à Agnès si effectivement elle avait senti la proéminence de son membre.
Après sa réponse positive Ralf eut un sourire, un sourire de fierté, sa femme était charmeuse, il le savait.
N’y tenant plus, Agnès se leva et ils retournèrent danser.
« J’ai envie de m’éclater » confia t’elle.
« Qu’attends-tu ? » répondit-il complice.
Agnès dansait avec sensualité, l’ambiance du club était chaude ce samedi soir, deux femmes se caressaient en dansant seins nus, un groupe de cinq personnes passait un moment charmant sur les banquettes, l’un des hommes était à genoux la tête enfouie dans l’entre jambes d’une belle créature qui suçait avec gourmandise le sexe bien tendu de son autre voisin, son compagnon était, lui, occupé avec une autre femme.
Dans ce contexte Agnès pouvait improviser sans retenue, en dansant elle retira son chemisier blanc et le confia à Ralf qui alla le poser sur leur banquette. Les petits seins d’Agnès étaient libres et faisaient le spectacle de ses proches voisins danseurs.
Samba était au bar avec des connaissances mais ne perdait rien au spectacle.
Deux minutes ne s’étaient pas écoulées que Samba quitta le bar et se dirigea vers Agnès, il lui demanda de le suivre, « Demandes à ton cocu de mari de venir aussi » Agnès le suivit sans même qu’il lui saisisse le bras, elle le suivait trempée et tremblante, aucune appréhension, juste du désir, que du désir.
Il passa derrière la salle et entra dans la salle sombre du hammam, un homme était déjà là, seul. Ralf se mit de côté tandis qu’Agnès faisait face à Samba.
« Mets-toi à genoux, salope » demanda très calmement Samba, l’autre homme qui avait compris l’opportunité avait sorti son sexe déjà bien dressé. « Regardes ça, suce maintenant ce que tu es venue chercher » ordonna-t-il. Agnès s’exécuta. Il lui prit la tête entre ses mains et la dirigea face à lui. Maintenant regarde comme tu me fais bander, il baissa son pantalon et sortit ce qu’Agnès désirait tant, et redoutait aussi. Il faut dire que la pièce noire et dure qui se présentait était au-delà de ses rêves. Elle le suça avec douceur et énergie à la fois, Samba fit signe à Ralf de la rejoindre à genoux, il s’exécuta. Le rythme devint plus intensif, Samba explosa dans un bruyant râle de jouissance, les lèvres d’Agnès débordaient de la semence blanchâtre, elle se mit à trembler et eut de très forts spasmes, puis un violent orgasme. « Viens, toi, embrasse ta salope de femme maintenant ».