Je suis Maude et comme je m’y suis engagé avec Claude mon mari, je vais vous raconter notre deuxième visite à l’Odysée. Cette narration m’est très difficile car la soirée que nous avons passée a été pour moi l’occasion d’une expérience dont j’ai encore honte. Je me suis laissée emporter par une ambiance que je n’ai ni voulue ni maîtrisée.
Nous sommes donc revenu à l’Odysée un samedi de la mi-décembre, ce soir-là il faisait particulièrement froid et nous avons sonné à l’entrée du Club vers 23 h. Nous avons pris place sur une des banquettes et avons commandé deux coupes de Champagne. Il y avait plus de clients que la première fois où nous étions venus, beaucoup se connaissaient et bavardaient entre eux, l’ambiance était très sympathique. On pouvait facilement remarquer quelques couples qui semblaient être un peu nouveaux comme nous.
Un couple se leva pour danser et nous nous sommes levés pour en faire autant. Claude me fit une remarque à voix suffisamment forte pour que nos voisins nous entendent « Tu vas passer à la pratique aujourd’hui ! ». Cette formule me fit trembler car je craignais qu’elle ne m’engage vis-à-vis des personnes qui nous avaient entendu. Je ne répondis pas et lui adressa un regard de reproches.
Un homme dansait avec sa compagne, une petite brune qui semblait avoir un magnifique corps, elle avait un profond décolleté qui laissait deviner une magnifique petite poitrine. Il la caressait, elle semblait apprécier, ce devait être des habitués, elle n’avait aucune gêne à montrer son corps.
Une heure avait passé et nos coupes de Champagne avaient été renouvelées deux fois. Claude était plus détendu et moi aussi quoique je le remarquais plus entreprenant, j’avais peur de ne plus maîtriser ses demandes. Il me caressait tendrement mais parfois avec un peu d’excès car je savais être observée. Dans ces situations, les nouveaux et les clients qui ne sont pas à leur aise sont plus remarqués que les autres, ce qui était notre cas.
Claude me prit par l’épaule et me guida à l’écart du bar, il me fit visiter et nous découvrions une douche commune ouverte sur un couloir, un vestige du temps où le club était un sauna. Claude ouvrit une porte qui donnait sur un ancien hammam plongé dans le noir. Il me fit assoir, nous étions seuls, les bruits de musique étaient plus lointains et la situation était très équivoque. « On sort si quelqu’un entre, c’est d’accord ? » « Oui chérie » me répondit Claude.
Il m’embrassa et me caressa, j’aimais la situation sous réserve que l’on ne soit pas dérangés et le noir de la pièce me rassurait car je pouvais toujours me redresser si quelqu’un entrait. Claude était très excité et j’aimais le voir ainsi. Il était très entreprenant et je sentais son membre bien dur sous la toile de son pantalon. Il me demanda de le caresser ce que je fis un court instant. Je lui suggérais alors de sortir, il n’insista pas. Revenu près du bar nous avons repris notre place comme si nous n’avions été absents qu’un court instant. La vue des couples très libérés était effectivement agréable dans cet endroit décontracté où tout le monde semblait sympathique et agréable.
Un instant Claude me demanda de l’attendre car il voulait retourner à l’arrière pour regarder si des situations nouvelles s’étaient créées. Je restais là angoissée d’être devant tant de monde déluré. Claude revint rapidement pour me demander de le suivre. Il me fit monter les quelques marches qui permettaient d’accéder à l’ancien jacuzzi.
Là était déjà assis un couple que nous avions déjà vu au bar. Elle, petite brune très bien habillée avec un petit décolleté très sage et une jupe assez courte, lui en costume sombre, il semblait beaucoup plus grand qu’elle. Claude me fit assoir un peu à l’écart, face à une télé qui diffusait un film très porno. La situation était gênante à côté de ce couple mais personne ne parlait en regardant l’écran.
L’homme avait glissé sa main sous la jupe de sa femme qui avait légèrement écarté les jambes pour mieux apprécier les caresses, elle fermait par moments ses yeux. Claude, lui, m’embrassait parfois, et restait très discret dans ses attentions. J’étais très confuse.
La salle était assez sombre, principalement éclairée par la lueur vivante de l’écran, un homme seul entra, puis deux, puis trois. Je me recroquevillais dans mon coin, Claude m’embrassa voulant sans doute me détendre. La situation était inquiétante car manifestement ces hommes attendaient quelque chose. Claude embrassa mon cou et entrouvrit mon chemisier comme si ces hommes avaient besoin de cette provocation pour se calmer !
Deux des hommes s’étaient approchés de la jeune femme brune qui semblait les ignorer, elle regardait l’écran avec attention. Je vis les deux hommes légèrement bouger et je devinais qu’ils préparaient une action nouvelle. L’un d’eux se retourna pour me regarder et observer mon attitude. Mais je n’avais pas encore remarqué que le troisième homme, un black était près de moi dans l’ombre. Je fermais les yeux, transie de peur, mon cœur battait et je regrettais maintenant d’avoir bu tout ce champagne qui avait relâché ma vigilance. L’homme avait la main sur sa braguette. Je tournais la tête, mais c’était pour voir deux énormes sexes bien tendus à proximité de la jeune femme. Elle embrassa son mari avant de tourner ses yeux vers les deux hommes qui la provoquaient. Je n’avais jamais vu de tels sexes, tendus, énormes et qui semblaient lisses et doux. Je savais que l’homme près de moi voulait s’approcher, je ne bougeais pas pour éviter toute évolution. Intérieurement j’avais très envie de le regarder à nouveau. C’est incroyable dans certaines situations on a des désirs inexpliqués et surtout inavouables et très contradictoires. C’est bien ce qui complique ma narration de cette soirée, mais je me suis engagée auprès de Claude.
Un sexe était tout près, encore plus près de la jeune femme. Son mari se tourna légèrement vers elle pour ouvrir totalement son corsage et lui intimer d’entrouvrir ses cuisses, une provocation qui ne pouvait que déclarer le passage à l’acte. En effet, l’homme présenta son sexe à la bouche de cette petite beauté très excitante. Elle regardait l’objet que manifestement elle désirait, elle montrait son envie de le caresser mais faisait durer cet instant, j’étais complètement attentive à ce moment intense. L’homme ne bougeait pas, mais la bouche de cette débauchée s’approchait de ce gland qui brillait, elle serrait ses lèvres tout en avançant, le gland pénétra très doucement dans la bouche qui éprouvait manifestement un énorme plaisir. J’avais intérieurement envie de savoir si cette peau tendue était aussi douce qu’elle ne semblait l’être. Je regardais Claude qui lui aussi était absorbé, il passa ses mais sur mes cuisses qui étaient très serrées. Pendant ce temps je n’avais pas remarqué que l’homme s’était assis près de moi avec beaucoup de discrétion. Je tournais mes yeux sans tourner ma tête, mais il croisa mon regard. Lui aussi avait défait sa braguette mais n’avais pas encore été plus loin, j’aurais presque voulu le remercier de m’épargner de sa retenue. Claude ignorait mes craintes, il semblait vouloir que je participe comme cette femme qui maintenant suçait le plus loin possible ce sexe qui avait encore grandi. L’autre homme jouissait du spectacle comme s’il attendait son tour. La jeune femme se mit à genoux pour mieux profiter de la situation, ses seins étaient maintenant libres, l’autre homme en profita pour se baisser et les caresser, ce qui augmenta le plaisir de cette gourmande.
Une main se posa sur ma cuisse, je reculais alors que Claude qui avait remarqué ce geste semblait être complice de ces avances, il m’embrassa tellement sensuellement que je croyais apprécier son baiser pervers. Je repoussais sa main, mais l’homme saisit très doucement mon bras, sans vouloir insister. La situation était très ambigüe, je ne savais plus ce que je voulais, je voulais éloigner cet homme trop entreprenant mais en même temps j’espérais qu’il reste à mes côtés. Sa main tenait toujours mon bras, avec calme et une certaine douceur. Claude embrassa alors mon cou et descendit sa tête entre mes seins. Je ne pouvais plus maîtriser mon plaisir et en même temps être sur mes gardes. Mon bras glissa lentement, sans trop de résistance vers cet inconnu, il le posa sur sa jambe, le glissa assez haut sur sa cuisse.
C’est alors que je sentis un contact infime sur mon bras, j’étais persuadé que c’était son sexe. Mais je ne pouvais pas me maîtriser et Claude faisait tout pour que je cède. Le contact devenait plus précis, la main de l’homme enveloppa ma main complètement inerte. Il la caressait pour me rassurer alors que je le sentais approcher de mon épaule. Un geste assez ferme et doux m’imposa de poser ma main sur ce corps doux, son énorme sexe. Cela me fit sursauter, mais impossible de réagir, j’étais trop curieuse, je voulais le caresser. Il était long et massif, terriblement doux, et terriblement ferme. Je fermais les yeux comme pour me sentir dans un rêve irréel. Son bras gauche était maintenant sur mon cou, il me caressait tout en écartant mon col, je me laissais faire comme une femme dévergondée à la recherche de sensations fortes. Et elles étaient fortes, mon cœur battait à tout rompre, je n’avais jamais ressenti une telle intensité dans le désir des sens. J’ignorais maintenant tout de ce que faisait l’autre femme, je rêvais intérieurement d’être à côté d’elle et de l’accompagner dans sa débauche.
La main descendait maintenant vers ma poitrine qui attendait des sensations nouvelles devant mon mari consentant. Ma main caressait maintenant le sexe de ce black, j’allais et venais et ne remarquais même pas qu’il m’invitait à m’incliner. Il voulait que je le suce, et chose totalement inavouable j’en avais très envie, je voulais simplement, moi aussi faire durer cet instant où on n’a pas encore dit « oui ».
Ma tête était maintenant posée sur sa cuisse, je regardais ce monstrueux sexe que j’allais prendre dans ma bouche. Claude avait posé son bras sur ma hanche. Une main, je ne sais laquelle se posa sur l’arrière de ma tête et tout doucement l’approcha de l’objet de mon désir. Mes lèvres étaient maintenant au contact de cette peau douce et tendue, je me présentais totalement en tremblements et avança doucement pour caresser ce magnifique gland. Le plaisir fut indescriptible, et c’est ce que j’ai le plus de mal à exprimer, à avouer, j’ai adoré le sucer, le faire pénétrer au plus profond de ma bouche, aller et venir pour donner le même plaisir que je prenais.
Cette excitation était telle que désormais j’étais totalement incapable de contrôler l’évolution de ces instants pervers.
Claude bougea et je le sentis s’écarter, je compris bientôt pourquoi lorsque je sentis la douceur d’une langue sur ma chatte, et je compris immédiatement que ce n’étais pas lui, je levais alors la tête pour remarquer cette femme qui avait pris position devant moi, les deux autres hommes étaient de part et d’autre à ses côtés. J’étais maintenant au centre du petit groupe, je cédais alors totalement en me disant que je chercherai plus tard à oublier ce rêve irréel et insensé.
Mon bassin ondulait maintenant au rythme des caresses, Claude observait ma débauche. L’homme que je suçais pris alors ma tête entre ses deux mains et s’écarta de moi, il me dirigeait maintenant vers les autres sexes qui étaient à ma portée. Je ne sais pas ce que j’ai fait, mais à aucun moment je n’ai hésité et je confesse que j’ai pris un plaisir énorme à les sucer tous les trois.
Ils me firent alors allonger et ouvrirent totalement mon corsage. Je voyais désormais deux des hommes se masturber au-dessus de moi. L’autre était masturbé énergiquement par la jeune brune. J’entendis un son rauque et vit en même temps l’un d’eux exploser dans une énorme jouissance, un jet de sperme traversa mes seins et j’en reçu aussi sur mon visage, les deux autres étaient encore plus excités et l’un après l’autre sont passé vider leur semence sur mon visage.
Je restais un moment les yeux fermés, cherchant à me faire oublier. Claude avait pris un papier pour m’essuyer, je redressais alors la tête pour entrevoir un groupe des clients qui étaient venus profiter de ce spectacle.
Je ne demandais alors qu’à partir le plus discrètement et le plus vite possible, me promettant de ne plus jamais revenir dans ce Club.
Maintenant que les semaines ont passées je peux enfin narrer cette soirée.
Au fond de moi je suis persuadé que je souhaiterai un jour revenir…